Fanfiction Diablo III

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Texte de Christopher

Par Christopher

Texte de Christopher

La pluie, la boue. Les gémissements de supplices des morts-vivant mutilés emplissant l'air d'un vacarme sourd et bourdonnant et l'odeur putride de feu de sang et d'immondices : Le décor n'invitait pas au plus raffiné des diner.
L'homme était arriver en retard, sa route avait croiser celle de plusieurs abominations fraichement cousue.
Balayant de ses yeux la scène, il la vue. Sa promise était morte. Autour d'elle, une centaine d'abominations recouvrant un tapis de zombie.

Elle avait son épée était toujours fermement serré dans sa main. Ses cheveux roux en bataille masquer en partie son visage. Sa mâchoire carré caractèrisant les femmes d'Harogath avait pourtant à ses yeux un aspect plus doux qu'à l'accoutumé. Elle aurait trouver la séreinité dans la mort. Mais pourquoi avoir choisit de prendre par à ce combat perdu d'avance ? c'est une question qui n'effleura pas un instant ses pensée. C'était dans l'ordre des choses.

Il avança vers elle et resta debout, solide.
Un pilier pour soutenir les maux de ce monde.
Un pilier qui ne pleure pas.

Il se contenta de lui fermer les yeux, arracha l'amulette qu'elle portait au coup pour la lié à son poignet et scruta les environs.
Sa vision redevenait limpide, tout comme son esprit. Un esprit dorénavant mué d'une rage ne demandant qu'à s'exprimé à haute voix.
Un esprit qui savait maintenant où aller. Leoric.

Ils s'étaient donné rendez-vous à la nouvelle Tristram pour un diner romantique.
Ca n'était pas son genre mais elle aimait voir ses yeux briller à la lueur d'un repas en tête à tête quand il là regarder.
Il n'avait pas le temps de ramené sa dépouille en ville, pas plus qu'il n'avait le temps de lui ériger une sépulture digne de ce nom.
Une seule direction s'imposé à lui et une seul envie : crier et jurer à la face de celui qu'on appelle Leoric.

Ont disait de lui qu'il se terrer dans les catacombes de la cathédrale de Tristram.
Savait-il qu'il aurait était plus en sécurité si il avait pris la route vers un autre monde après qu'il eu envoyé ses sbires attaqué la nouvelle Tristram ?
Pensez-t-il qu'un mort-vivant ne puisse souffrir ?

Le pas de l'homme s'accélérera et devint une course.
Sur sa route il jouait des épaules des coudes et des genoux au milieu d'une horde de créatures ramené à la vie.
Pas le temps de les éplucher.
Pas le temps pour du menu fretin.

Il courrait toujours plus frénétiquement,
marchant sur les plus petits,
bousculant les plus solides,
passant à travers les plus immondes.

Parfois le chemin était trop noir de monstre,
imbriqué entre eux,
formant une silhouette d'individus difformes.
Une silhouette qui se déchiré à son passage.

Dans sa main gauche, Mjolnir.
Créatrice... Faite pour créer des blessures là où il n'y avait rien avant.
Dans sa main droite, Fjolnir.
Destructrice... Seulement destructrice.

Il occis des démons accomplissant en cercle un funeste rituel.
Le Paladin qui se tenait en son centre aurait aimer remercié l'homme mais ce dernier était déjà trop loin.
Il avait changer d'étage et pourtant le Paladin entendait toujours ces pas de course régulier.
Et puis une salle contenant 4 piliers.

Le Roi Leoric y fit une apparition sous forme de spectre mais l'homme n'était pas là pour un exorcisme. Pas exactement.
Les piliers déglutir des dizaines, non! des centaines de zombies.
Mais dans sa main gauche, Mjolnir...
Et dans sa main droite, Fjolnir.

Depuis combien de temps se tenait-il debout à jouer des haches ?
Quand un perdait la tête, trois était derrière pour prendre sa place.
Mais les mathématiques n'était pas en bon terme avec lui.
C'est par instinct et non par raisonnement numérique qu'il détruit les pilliers.

Un coup pour Tromah sa belle et tendre, bien que de tendresse elle ne faisait que rarement usage.
Un coup pour Harogath, la cité qui l'avait érigé en champion il y à bien des âges.
Un coup pour ce monde et pour rappelé qu'il veillerait sur lui.
Un coup pour Leoric. Le plus violent, le plus fracassant de tous.

Avec ce dernier coup la pièce entière aurait du s'éffondré mais même les murs semblait craindre son contact.
Encore une pièce, encore un couloir, encore des créatures insignifiantes.
Encore une course effréné et ce léger point de côté qui lui rappelé qu'il était mortel.
Mais qui l'aurait crue?

Et puis, lui. Le spectre du roi.
Se tenant au dessus du sol et lui disant qu'il ne triompherait pas,
ricanant et usant de magie pour creuser un faussée entre l'homme et le trône.
Mais l'homme n'écoutait pas, sa rage couvrait la voix de son ennemie.

Quelques créatures lui barrant le passage.
Quelques coup d'haches et un coup de pied dans une porte plus tard et il était enfin face à lui.
Dans ses pensées il remercia Cain de lui avoir donné la couronne.
Sa vengeance n'aurait pu avoir lieu sans lui.

Il s'assit et sortit une feuille ainsi qu'une plume.
La scène aurait était banale à Zakarum, mais ici ?
Il sortit la couronne de son sac et la posa sur le crane de la dépouille du Roi.
La salle répondit à l'appel de son Roi et se mit à vibrer.

Un instant plus tard : Le roi était en vie.
Sa résurrection se suivit d'un rire des plus malsains.
Avait-il prévu que son ange de résurrection soit cet homme?
Savait-il que si il faisait assassiné Tromah, l'homme viendrait ici?

Mais les devinettes tout comme la réflection n'était pas en bon terme avec lui.
En guise de présentation là plus violente des frappes à poing nue.
Comment le squelette de ce qui fût jadis Roi pouvait-il encore être intact ?
Un seul regret : pas d'effusion de sang. Léoric n'en avait plus depuis longtemps.

L'homme saisis le Roi par le col et hurla un juron des plus commun.
Le Roi ne l'entendit pas. Il ne pouvait pas. Le Paladin et Deckard Cain si.
A ses oreilles il n'y avait que des chuchotements de démons lui jurant force et pouvoir, lui jurant un royaume à jamais fidèle.
Lui jurant une place à côté de leurs trônes infernaux. Lui jurant qu'ils mettraient un terme à ce monde.

Frappant d'une masse à deux mains de 10 pieds de haut, il projeta le barbare à 20 pieds du point d'impact.
L'homme était dur mais il s'était certainement brisé une côte dans l'échange . Un coup de poing contre un coup de masse, mais qu'importe.
Il sortit la feuille où il avait écrit plus tôt le destin du roi.
Il la déplia et cria son contenue :

UN VRAI MASSACRE.

Il la lu en riant presque de l'attaque précédente.
Avec un rictus qui ne disparaitrait pas avant que son ennemie disparaisse également.
Exultant. Frissonant.
Le seuil limite de colère qui lui permettait encore d'articulé et de s'exprimé.

Avec dans sa main gauche Mjolnir, et dans sa main droite Fjolnir, il frappa à plusieurs reprises.
Chaque coup précédent le suivant plus rapidement.
Chaque coup rendant plus complexe le puzzle pour un hypothétique medecin-légiste.
A l'avant dernier coup, Mjolnir se fendit. Elle restera coincé à jamais entre le torax et l'armure maintenant brisé du roi.

Fjolnir fendit l'air après un puissant lancé et terminera sa course dans un mur après avoir éclaté en morceaux le crane du Roi.
Le Roi est mort. Son spectre est là. Que peut-il dire?
L'homme n'écoute pas et d'ailleurs que Bul-Khatos lui en soit témoin : il s'en fiche.
Il est temps pour lui de rejoindre Tromah et enterrer son corps meurtri.

Sa prochaine étape sera de s'occuper des démons qui murmurer à Leoric. D'ailleurs qu'ils murmurent ou pas : il s'en tape.
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